Un nouveau record vient d’être pulvérisé. Désormais, pour détruire le plancton, 48 heures suffisent. L’auteur de cet exploit : le réseau mobile LTE/4G.

 

Pendant plusieurs jours, des organismes de plancton ont été exposés à des ondes de technologies sans fil. Résultat : morts ou déformés après 96 heures d’irradiation au wifi. Le même test a été pratiqué avec la 3G (téléphonie mobile) qui améliore nettement la performance avec un temps de 72 heures. Mais c’était compter sans la 4G, qui permet l’internet à haut débit de n’importe où, n’importe quand, sur votre portable. Cette fois, le plancton calanche au bout de 48 heures.

 

On connaissait le slogan « livré en 48 heures chrono ». Serait-on à l’aube d’un nouveau concept : Tué en 48 heures chrono ? Redoutable. Pas vendeur, je vous l’accorde, hormis pour les marchands de cercueils et de protections anti-ondes, ce qui n’est pas à négliger, en ces temps de croissance économique anémiée.

Enfin, 48 heures, pour occire un organisme vivant, ça vous pose une nouvelle technologie. L’intérêt, notez bien, c’est qu’on peut faire pire. Combien pour les effets cocktails des ondes pulsées et des produits chimiques ? Pour la future 5G ?

 

Il fut une époque où le civil recyclait les armes de guerre et leurs dérivés. Avec les outils de la communication moderne, c’est du tout cuit pour les militaires ! En son temps, Boris Vian écrivait : « Le propre du militaire est le sale du civile ». Je vous laisse imaginer ce qu’il en dirait s’il était des nôtres aujourd’hui.

 

Mais soyons positifs : les téléphones de la quatrième génération seront dotés « d’antennes intelligentes ». Comprenez, une série de quatre antennes dans le même appareil téléphonique. Vous aviez peur de ne pas être suffisamment irradié ? Rassurez-vous, l’industrie pense à tout !

Elle nous concocte des appareils « intelligents » à tout bout de champs. Les compteurs, eux aussi, sont intelligents, après avoir connu une période neuneu, à la limite de la débilité mentale. Des compteurs électriques Linky aux radio-relevés des compteurs d’eau, en passant par les tout nouveaux compteurs communicants Gazpar, plus besoin d’humains, les machines prennent la relève, avec irradiation à tous le étages.

 

Toujours plus vite à transmettre l’information… et à détruire la vie sur terre. Ainsi va le cours du monde.

Que les études scientifiques alarmantes se comptent par centaines n’y change rien. Qu’une proposition de loi demande de réaliser des études d’impact sanitaire avant le déploiement de la 4G, qu’importe. Enterrée par les fossoyeurs du débat démocratique et du monde vivant, le 31 janvier dernier. Comme ce jour paraît loin, déjà.

Au fond, la question n’est pas : ne serait-il pas prudent de s’assurer de l’absence de danger ? La seule question qui vaille, désormais, c’est : Combien de milliards attendus ?

 

http://www.naturalnews.com/041561_mobile_network_health_risks_cell_phones.html